Du fait de sa grande expérience du contact humain (allez, on va le dire : il arrive qu'elle soit vendeuse), la cunnasse a tendance à fonctionner constamment avec les mêmes mimiques, expressions et stéréotypies langagières superflues. Cela lui rend la vie plus confortable... malheureusement, cela lui donne aussi l'air d'un robot ou d'une cunnasse qui aurait été congelée en 1988 et décongelée en 2014.
Le suffixe imaginaire "han", qu'elle ajoute consciencieusement à chaque fin de proposition, illustre bien ce propos :
"Bonjour-han" ; "Au revoir-han" (c'est parce que sinon, on n'entend pas le "R").
lundi 9 novembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire